Retrouver son chemin dans la jungle des connaissances 🗺

Alors que des dizaines de milliers de cours sont désormais accessibles gratuitement sur Internet, dont plus de 600 sur OpenClassrooms, le choix ne manque pas pour qui souhaite se former sans dépenser un centime. Mais par où commencer exactement ? Dans quel ordre suivre les cours en ligne afin de réaliser le projet de ses rêves ?

Quand on découvre un nouveau domaine, comme le développement web, il est facile d’être noyé sous les termes barbares : frontend, backend, framework, Python, Node.js, Git, et j’en passe et des meilleures. Les débutants ont vite fait de s’y perdre.

Bien sûr, on peut suivre des cours sur OpenClassrooms comme Comprendre le Web pour faire ses premiers pas. Mais les concepts sont tellement nombreux ! Comment s’y retrouver ?

C’est là qu’entre en jeu… la nouvelle Carte des Connaissances !

Aperçu de la Carte des Connaissances (pensez à dézoomer pour tout voir !)

Il s’agit d’une carte mentale des concepts liés au développement web. Chaque concept amène à un autre concept. Par exemple : Développement Web => Backend => Java => JEE => Struts. Cela vous aide à savoir dans quel ordre découvrir ces domaines.

Cerise sur le gâteau : vous pouvez lancer le teaser du cours OpenClassrooms correspondant et aller lire chacun de ces cours gratuits en cliquant sur la flèche ➡️ !

Petit guide pour bien utiliser la Carte des Connaissances

Cette carte en libre accès est notre premier prototype. Elle porte sur le développement web. Elle est inspirée d’une expérimentation que nous avions fait il y a des années qui avait rencontré beaucoup de succès et que nous avions toujours voulu ressusciter : c’est enfin chose faite !

💡 Nous avons besoin de vos retours ! Qu’en pensez-vous ? Trouvez-vous les informations que vous recherchez ?

En fonction de vos retours, nous pourrons compléter la carte, la rendre plus visible sur OpenClassrooms et l’adapter à d’autres domaines comme la Data et la gestion de projet !

🗺 Voir la Carte des Connaissances 🗺
(dézoomez pour afficher toute la carte !)

On ne choisit pas ce qu’on aime

« Il ne fait rien de la journée, ses notes sont en chute libre. Je n’arrive pas à le motiver à quoi que ce soit. »

Une mère de famille me tenait ce discours à propos de son fils adolescent. Elle voulait que je l’aide, que je le motive à quelque chose peut-être. Mais quoi ?

Le problème commençait à prendre des proportions qui l’inquiétaient de plus en plus. Toutes ses tentatives de le motiver à quelque chose semblaient avoir échoué. Face à cette impasse, que faire ?

Au risque de vous décevoir, cette histoire n’a pas d’heureux dénouement (ni de dénouement tout court d’ailleurs). Aller voir un adolescent qui n’avait rien demandé pour tenter de le motiver à faire « quelque chose » ? Bonjour la mission impossible. Je ne suis pas fou.

Je ne suis pas allé plus loin car, quelque part, je ressentais que le problème était mal posé. Evidemment, cet adolescent souffrait probablement d’un mal-être. Il n’était pas excité par ce qu’il faisait, par ce qu’il apprenait à l’école. Bref, un spécimen d’adolescent tout à fait courant. 😅


Maintenant, de deux choses l’une :

  • Soit cet adolescent n’avait pas trouvé ce qu’il aimait. L’idéal est alors de prendre du recul et se donner le temps et les occasions de le découvrir. Voyager aide. Tester des métiers aide. C’est d’ailleurs dans cet esprit que nous avons conçu Prép’apprentissage, pour faire tester 4 métiers différents avant de s’engager dans l’un d’eux en formation en apprentissage.
  • Soit cet adolescent avait trouvé ce qu’il aimait, mais il n’en était pas conscient. Et c’est bien là le problème : beaucoup savent ce qu’ils aiment au fond mais enfouissent cette idée dans les tréfonds de leur conscience car elle ne correspond pas aux attendus de la société.

J’aimerais évoquer ici le second cas. Après tout, si ce qu’on aime ne correspond pas aux attendus, s’il n’y a (apparemment) pas de débouchés, alors il suffit de changer. Il suffit… de se forcer à aimer autre chose… n’est-ce pas ?

J’ai mis du temps à le réaliser, mais c’est tout bonnement impossible, sauf à se faire durablement souffrir psychologiquement.

On ne choisit pas ce qu’on aime. On ne choisit pas qui on aime. Ca vous tombe dessus, tout simplement.

La société, votre famille, vos amis, vous mettront indirectement la pression pour aller dans la voie convenable. Personne ne vous dit que ce que vous aimez « n’est pas une voie convenable », mais vous avez bien compris que c’était le message. Alors vous essayez de plaire, de faire ce qu’on attend de vous. Vous vous forcez. Ca marche un temps, mais vous vous mentez à vous-même. Vous pouvez fuir, ça ne changera rien à ce que vous aimez.

Si vous aimez un type d’activité, être plutôt seul ou au contraire en groupe, travailler avec un certain type de personnes… c’est vous. Vous êtes comme ça.

Vous pouvez tordre la vérité, la jeter au fond d’un trou : elle reviendra vous voir, elle vous retrouvera et vous suivra inlassablement.

On ne choisit pas ce qu’on aime. On ne choisit pas qui on aime. Ca vous tombe dessus, tout simplement. A vous d’en faire quelque chose.